Hommes et vautours

Hommes et vautours

Mémoire
« DES HOMMES ET DES VAUTOURS : LIENS INTIMES »
Auteur : Sylvain REED

1. L’activité agropastorale dans les Pyrénées

Dans la partie « Vautours pyrénéens » de cette rubrique, les différentes espèces de vautours européens ont été présentées :

  • Le vautour moine
  • Le vautour percnoptère d’Egypte
  • Le gypaète barbu
  • Le vautour fauve

Il a été montré que ces rapaces possèdent de fabuleux pouvoirs d’adaptation à leur mode de vie si singulier et qu’ils existe un lien étroit entre ces oiseaux et les activités humaines, plus particulièrement avec le pastoralisme. Étudions ces liens dans le contexte pyrénéen.
Le pastoralisme est une activité pratiquée dans les Pyrénées depuis des millénaires. Selon les régions le terme de pastoralisme peut être utilisé différemment, mais généralement, le pastoralisme concerne les élevages ovins, bovins, caprins et équins, qui utilisent et valorisent les ressources fourragères spontanées, par un élevage extensif. Cette activité est très présente dans le massif pyrénéen. De tous les massifs français, c’est là où le poids de l’agriculture est le plus important, voir la figure 4.28.

Part des emplois dans l’agriculture, en %

La majorité des exploitations agricoles pyrénéennes sont familiales, l’activité y est diversifiée mais l’élevage prédomine, voir la figure 4.29. En 2010, le nombre des exploitations agricoles était de 13 096 sur tout le massif, plus de 60% pratiquent l’élevage. Ces chiffres évoluent constamment, depuis le début de ce siècle, 20% des exploitations agricoles ont disparu et les surfaces agricoles ont diminué de 7%, en partie dû à l’urbanisation. Pour ce qui est des exploitations pastorales, cette diminution est respectivement de 13% et de 2%.

Orientation des exploitations agricoles du massif des Pyrénées

Dans les Pyrénées, l’essentiel de la production des exploitations agricoles et pastorales repose sur l’élevage. Cette production n’est pas répartie uniformément sur le massif, voir les figures 4.30. et 4.31. Le poids du département des Pyrénées-Atlantiques y est prépondérant. Dans ce département, chaque année :

  • 340 000 ovins
  • 29 000 bovins
  • 7 000 équins, transhument pour rejoindre les estives d’altitude

Ce qui représente 40% de l’effectif total du massif Pyrénéen dans son ensemble. Ces chiffres sont très significatifs, nous pouvons chiffrer l’ensemble du cheptel transhumant sur l’ensemble des Pyrénées à au moins 700 000 animaux (ovins, bovins, équins). Ainsi, si l’on compare ce chiffre au nombre de couples de vautours fauves présents sur le versant français de tout le massif, 826 couples (chiffres 2012), il y a donc 1 000 fois moins de vautours fauves que d’animaux d’élevage.

Production Brute Standard des exploitations agricoles et pastorales
UGB des différentes régions du massif pyrénéen, (unité employée pour comparer des effectifs d’animaux d’espèces différentes). Source IPHB

2. Des Hommes et des vautours : liens intimes

2.1. Liens spirituels et culturels

2.1.1. Fabrication d’outils culturels

De tout temps les hommes ont créé des objets à partir d’éléments prélevés dans le milieu naturel, notamment en utilisant des os ou des plumes d’oiseaux. Parmi les plus vieux objets ainsi fabriqués dans notre région, les flûtes datées du paléolithique retrouvées dans la grotte d’Isturitz (Pays basque) peuvent être citées [BUISSON 1990]. Des os creux de vautours ont été utilisés pour ce type d’instrument de musique, voir la figure 4.32.

Flûtes fabriquées avec des os de vautours
Fragments de flûtes retrouvés dans la grotte d’Isturitz, Pays basque
2.1.2. Emblème divin

Les vautours ont également été utilisés comme emblème divin, notamment au sein de la civilisation Égyptienne. La déesse Nekhbet, la déesse vautour, fût la protectrice de la haute Égypte. Entre autres, le vautour fut représenté sur le sarcophage de Toutankhamon, voir la figure 4.33.

Figure 4.33. Sarcophage de Toutankhamon, s’y trouve une tête et des ailes de vautour

2.2. Liens réciproques vitaux ou mortels

2.2.1. Liaisons mortelles pour les vautours

Les résidus médicamenteux dans l’alimentation des vautours

Au début des années 1990, les populations de vautours présentent dans trois pays du sous-continent indien : l’Inde, le Pakistan et le Népal, ont diminué catastrophiquement. Près de 95% des vautours changoun (Gyps bengalensis), indiens (Gyps indicus) et à long bec (Gyps tenuirostris) se sont éteints. Avant cette crise les effectifs de ces espèces étaient de plusieurs dizaines de millions d’individus. Depuis 2002 elles sont en danger critique d’extinction (selon l’Union Internationale pour la Conservation de la Nature), ce qui est la plus haute catégorie de menace. Par exemple, la population de Gyps Bengalensis a diminué de 99,9% entre 1992 et 2007. La cause de ce désastre est le diclofénac [GEDOUX 2010]. Il s’agit d’une molécule couramment utilisée sur le sous-continent indien pour le traitement symptomatique et la gestion des états inflammatoires et fébriles des animaux d’élevage. Elle a été introduite sur le marché vétérinaire en 1993-1994. La toxicité aiguë d’un médicament à usage vétérinaire sur la population de vautours indiens est un problème sans précédent dans le monde des rapaces. Pour information cette molécule est utilisée pour soigner des états inflammatoires chez l’Homme, sous le nom « Voltarène » par exemple, médicament très connu. Il est actuellement interdit pour l’usage vétérinaire en Europe et en Amérique du Nord. Le diclofénac est extrêmement toxique pour les vautours, même à faible dose, leur causant une insuffisance rénale aiguë sévère suivie d’une mort rapide. Les vautours du sous-continent indien ont ingéré indirectement cette molécule par l’intermédiaire des cadavres de bovins.

Cet exemple montre la puissance du pouvoir d’extermination que possèdent les Hommes sur le biotope et sur les vautours en particulier. Heureusement que les relations qui unissent ces deux espèces ne sont pas toutes aussi néfastes.

Autres liaisons dangereuses

Les vautours ont également été des victimes indirectes des empoisonnements à la strychnine visant les prédateurs : loups, renards ou chiens errants. En ce qui concerne les causes directes de leur persécution, les vautours ont été pris pour cible par des chasseurs qui étaient en quête de trophées. Ces événements sont la principale cause de leur éradication et leur disparition du territoire français dès le XIXème siècle.

2.2.2. Liaisons bénéfiques pour l’Homme

L’équarrissage

En Europe, avec l’avènement de la religion chrétienne, puis de la classification du vivant en êtres supérieurs et inférieurs, le vautour, avec son rôle d’éboueur de la nature a été jugé immonde et déshonorant. Cependant les vautours fauves ont toujours été respectés des populations rurales qui voyaient en ces oiseaux des auxiliaires sanitaires précieux. En effet, la décomposition des cadavres des animaux d’élevage ont posé de nombreux problèmes sanitaires par le passé :

  • diffusion de germes pathogènes
  • prolifération d’insectes
  • écoulement de jus contaminant dans les ruisseaux

En consommant les cadavres d’ongulés domestiques, le vautour fauve empêche la décomposition et la putréfaction naturelle de ces carcasses et donc minimise les problèmes sanitaires. Il représente donc une alternative à la non-collecte des cadavres par les services d’équarrissage dans les zones difficiles d’accès [DUPONT 2011]. En France, depuis le 7 Août 1998, le vautour fauve est reconnu, par la loi française, comme auxiliaire sanitaire dans le domaine de l’équarrissage. Cependant, après la crise de la « vache folle », depuis les années 2000, il était interdit de laisser les carcasses d’animaux morts aux vautours. Ce qui a créé des tensions sur leur ressource alimentaire. Depuis quelques années ces mesures s’assouplissent. Si jusqu’à hier, ces « équarrisseurs naturels » connus pour leur régime alimentaire charognard étaient les meilleurs alliés des éleveurs pyrénéens, comme par exemple l’utilisation de « Placettes », voir la photographie 4.34., ils sont aujourd’hui rendus responsables par ces derniers de sinistres survenus sur le bétail, analysons cette situation.

Vautours fauves, placette de nourrissage au Pays basque
Figure 4.34. Placette présente au Pays basque. (Photographie : Sylvain Reed pour Plénitude Découverte)

2.3. Les conflits actuels

2.3.1. Analyse de la situation [DEMOLIS 2014] [LABOUYRIE 2007]

Avant le néolithique, le vautour fauve se nourrissait essentiellement d’animaux sauvages. Depuis l’apparition de l’agriculture et du pastoralisme, il y a entre 8 000 et 10 000 ans dans les Alpes du sud et les Pyrénées, la source de nourriture des vautours fauves a évolué vers la consommation de cadavres d’animaux issus des activités agropastorales humaines. Le vautour fauve a coexisté sur ces territoires depuis au moins cette période jusqu’à sa quasi-disparition intervenue durant la moitié du XXème siècle. Cette disparition brutale a été causée vraisemblablement par l’utilisation de poisons destinés aux renards et aux loups ainsi qu’aux tirs de chasseurs dont le but était la constitution de trophées. Or, depuis les années 1970 et le développement du nombre d’individus de vautour fauves, plus précisément depuis 1997, certains éleveurs rendent pour responsable les vautours fauves de tuer les animaux de leurs élevages.

Globalement l’espèce colonise peu à peu des zones dans lesquelles il n’était pas connu jusqu’ici : le piémont des Pyrénées-Atlantiques, les Pyrénées-Centrales et orientales. Ce sont dans ces nouvelles zones de colonisation que les éleveurs sont les plus inquiets pour leurs troupeaux. Ils découvrent souvent pour la première fois ces oiseaux impressionnants. La figure 4.35. présente la répartition communale des constats de dégâts de vautours fauves. On peut constater que le département des Pyrénées-Atlantiques concentre le plus de déclarations. Cela est corrélé à la forte activité d’élevage de ce département. Ces déclarations sont recueillies grâce à une procédure qui a été mise en place par les services de l’État.  Des constats sont renseignés et rédigés par les agents de l’ONCFS, du PNP (Parc National des Pyrénées) ou du PNC (Parc National des Cévennes), suivant la zone concernée. Des experts vétérinaires peuvent être associés. L’objectif des constats est de recenser objectivement le maximum d’éléments factuels. Il est à noter que c’est l’éleveur qui déclenche la procédure dès qu’il estime que le vautour fauve a pu avoir un comportement anormal.

Figure 4.35. Répartition communale des constats de dégâts de vautours fauves (de 2007 à 2014)

La figure 4.36. détaille le nombre de déclarations de dommage déclarées par les éleveurs. Ces chiffres ont augmenté de façon continue jusqu’en 2007, puis globalement ils décroissent jusqu’en 2010 pour se stabiliser à une cinquantaine de cas depuis cette date (ovins + bovins). On peut remarquer que les dommages déclarés concernent globalement plus les bovins.

Constats de dégâts de vautours fauves
Figure 4.36. Nombre de déclarations de dommages attribuées par les éleveurs entre 1997 et 2013. [DEMOLIS 2014]

Il est intéressant de connaitre les lieux de constations de ces dommages probables. La figure 4.37. présente la répartition mensuelle des déclarations effectuées par les éleveurs et leurs lieux de constatation. Ainsi, le plus grand nombre de constatations ont été réalisé proche de l’exploitation de l’éleveur, durant les mois de mai et juin. La figure 4.38. permet de connaitre la nature des problèmes constatés. Ainsi, le pic des mois de mai et juin, est lié à une majorité de déclarations de dommages concernant des vêlages et des ovins adultes, se déroulant à proximité de l’exploitation (hangars, bâtiments, prés à proximité de la ferme). Le pic des mois d’août et septembre, est surtout lié à des vêlages, se déroulant en estive de montagne. Ainsi il est intéressant de remarquer que la majorité des problèmes constatés par les éleveurs concerne les bovins lors des mise-bas. La pratique de mise-bas non assistée est une pratique à risque quelle que soit la race bovine considérée. En race Blonde d’Aquitaine 21% des vêlages sont classés comme très difficiles, ce qui la situe entre la race Charolaise (46,5%) et la race Limousine (11,6%).

Figure 4.37. Lieux de répartition mensuelle des déclarations de dommages attribuées par les éleveurs au vautour fauve de 1993 à 2009. [DEMOLIS 2014]
Répartitions des constats de dégâts de vautours fauves
Figure 4.38. Répartition mensuelle des déclarations de dommages attribuées par les éleveurs au vautour fauve de 1993 à 2009. [DEMOLIS 2014]
2.3.2. Synthèse

Depuis le pic du nombre de déclarations de l’année 2007, le nombre de déclarations annuelles fluctue entre 120 et 35. Dans ces déclarations, ne sont considérées que la présence du vautour fauve, pas son degré d’implication (A provoqué la mort du bétail ? A accompagné la mort du bétail ? A juste consommé le cadavre de l’animal ?). Ainsi entre 2007 et 2013 (estimations) :

  • nombre de dossiers de dommage déposé par les éleveurs : 530 dossiers, 76 par an (en moyenne)
  • 223 ovins concernés, 32 par an (en moyenne)
  • 273 bovins concernés, 39 par an (en moyenne)
  • 20 équins concernés, 3 par an (en moyenne)
  • TOTAL d’animaux concernés, 516, 74 par an (en moyenne)

Les centaines de dossiers de déclaration rédigées au cours des trois années 2007, 2008, et 2009 ont été analysé. Ces années correspondent à la période qui a connu le plus grand nombre de dossiers de déclarations de dommages, voir la figure 4.33. De ces dossiers, il ne reste que 75 cas litigieux (67 cas dans le massif pyrénéen et 8 dans les Grands Causses) où les vautours fauves sont intervenus avant la mort de l’animal. Cependant, il a été démontré quasiment à chaque fois, que le vautour fauve avait seulement accéléré ou aggravé un état pathologique ou de faiblesse extrême de l’animal [DEMOLIS 2014].

Ce chiffre de 75 cas litigieux pour trois années, est à comparer avec le nombre d’ovins et de bovins présents dans les deux départements des Pyrénées-Atlantiques, et des Hautes-Pyrénées :

  • Ovins : 750 000 dans le 64 et 150 000 dans le 65
  • Bovins : 300 000 dans le 64 et 110 000 dans le 65

Le taux de perte, par an, dans la région pyrénéenne est de 2% pour les ovins et 0,7% pour les bovins ce qui donne une estimation grossière pour les deux départements :

  • 18000 ovins morts par an, toutes causes confondues (maladies, foudre, chutes…)
  • 2900 bovins morts par an, toutes causes confondues (maladies, foudre, chutes…)

Ainsi, ces cas litigieux, représentent approximativement pour les années 2007, 2008 et 2009 :

  • 0,12% des décès d’ovins et de bovins

Ce chiffre est infime. Cependant, pour un éleveur, la perte d’un animal est un traumatisme souvent profond, cela est à prendre en compte. J’ai pu entrevoir cela lors de certaines de mes discutions avec plusieurs bergers, notamment avec l’un d’eux, dans le massif du Béhorléguy, Pays basque.

2.3.3. Des solutions ?

Suite à la lecture des différents rapports existants sur ce sujet, il est clair que des pistes émergent afin d’apaiser les aigreurs et réduire les peurs, sans ordre de priorité :

  • « Communication » : il est très important d’organiser une campagne régulière d’information visant les éleveurs, les naturalistes et le grand public. L’objectif est de diffuser des informations pertinentes sur ce sujet (chiffres, élevage, vautour fauve, …). Il règne une non-connaissance généralisée des informations clés.
  • « Valorisation » : il est capital de valoriser le rôle des éleveurs dans la sauvegarde des vautours et du vautour fauve en particulier.
  • « Nourrissage » : il est primordial d’utiliser des placettes de nourrissage de petites tailles (pas de charnier de grande taille) pour apporter aux vautours fauves le complément alimentaire dont ils ont besoin. Cela permet également aux éleveurs d’effectuer des économies en termes de frais d’équarrissage.

Derrières toutes ces démarches, ces chiffres, ces courbes, ces rapports, … il ne faut pas oublier l’acteur principale : le vautour fauve, être vivant faisant partie d’un biotope. En tant que Pyrénéens (éleveurs, visiteurs, habitants, …), nous avons entre nos mains la survie d’une espèce, le vautour fauve, harmonisons notre relation avec elle pour la conserver. En écrivant ces derniers mots, je me remémore le moment extraordinaire vécu lors du bivouac proche du Refuge d’Ayou. Les 17 jeunes personnes du groupe encadrés, adolescents issus d’un milieu urbain défavorisé, ont admiré durant plus d’une heure une curée de plusieurs dizaines de vautours fauves : sans un mot, admiratifs, contemplatifs, interrogatifs, … ce fut une grande et belle surprise pour moi de voir autant de contemplation de la part de ces jeunes, habituellement déconnectés du milieu naturel montagnard, qui voyaient ce spectacle pour la première fois. Nous Pyrénéens, qui observons presque quotidiennement des vautours fauves, n’oublions jamais que ces animaux sont majestueux, regardons les avec des yeux d’enfants et admirons les comme au premier jour !

BIBLIOGRAPHIE

[BUISSON 1990]Buisson P, « Les flûtes paléolithiques d’Isturitz (Pyrénées-Atlantiques) », Bulletin de la Société préhistorique française, tome 87, n°10-12, 1990. Spécial bilan de l’année de l’archéologie. pp. 420-433.
[CNE 2014]CNE, Confédération de l’élevage, « Chiffres clés 2014 – Productions Ovines Lait et Viande », Rapport, 2014
[DEMOLIS 2014]Demolis C, Fouquet E, Roussel F, Steinfelder M, « Le Vautour fauve et les activités d’élevage », Rapport mission d’expertise – Ministère de l’écologie, du développement durable et de l’énergie – Ministère de l’agriculture de l’agroalimentaire et de la forêt, septembre 2014
[DUPOND 2011]Dupond E. « Modélisation Multi-Agents d’un Service Eco-systémique, scénarios de systèmes d’équarrissage par des rapaces nécrophages », thèse de doctorat, 2011
[ELIOTOUT 2007]Eliotout B. « Le vautour fauve », livret, Delachaux et Niestlé, 2007
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[MANETTI 2010]Manetti, « Contribution à l’analyse des dommages imputés au vautour fauve (gyps fulvus) sur le cheptel français : le rôle des vétérinaires », Thèse de doctorat, Ecole Nationale Vétérinaire de Lyon, 24 septembre 2010
[MAUREL 2002]Maurel S., « Etat des relations entre le vautour fauve et le pastoralisme dans le parc national des Pyrénées », thèse de doctorat, 2002